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4 février 2011 5 04 /02 /février /2011 23:03

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Pourquoi Buffalo Grill ?

 

Parce que j’y ai pris mon repas ce midi et que ça fait longtemps que je n’y étais pas allé.

 

Mon avis

 

J’avais connu le Buffalo Grill étant petit quand on trainait dans les zones commerciales avec mes parents. Buffalo Grill, c’est l’image d’un resto à l'américaine (mais moins gras que l’on pourrait penser) style Western.

J’ai toujours aimé manger au Buffalo, de la viande rouge bien grillée et des frites. Rien de bien compliqué dans notre pays.

Mais là où Buffalo se démarque, c’est sur tous les petits plus que les restaurants offrent (service, produits, animations,…).

 

Buffalo-Grill-0468.JPG

La carte du Buffalo Grill


Le service

Au niveau du service, rien à redire. Les serveurs et serveuses sont très accueillants, souriants et serviables (du moins dans celui où j’étais). Dès l’entrée dans le restaurant, on a une responsable de salle qui nous accueille et nous amène à notre table, sans manquer à nous annoncer la formule ou le menu du moment : aujourd’hui, c’était menu all included (plat, dessert, boisson et café) pour 18,90€. Elle nous a également annoncé que c’était Marie qui allait s’occuper de nous aujourd’hui.

Marie justement, très sympa également. A l’écoute sans être sans cesse derrière notre dos, elle nous a permis de passer un bon déjeuner, et c’est là l’important pour moi : si on sort d’un restaurant en se souvenant que notre serveur a été bon, c’est que la qualité du service est bonne.

Avec l'addition, comme toujours, un petit mot en bas de la note de notre serveuse attitrée. Le clin d’œil est sympa et l’habitude serait bonne à prendre pour certains serveurs. Ce serait bien de pouvoir également laisser notre avis sur la qualité du service.


Les produits

Ahhh, la fameuse salade Buffalo Grill offerte dès qu’on arrive. C’est le premier plat qui est servi dans un restaurant Buffalo Grill : une salade verte tout simple avec du maïs et une sauce salade (bien industrielle je pense mais assez bonne). Avec ça, on a également reçu des pop corn salés pour accompagner l’apéro, c’est spécial mais ça reste dans l’ambiance américaine qui plane dans le restaurant.

Pour le reste, la carte est assez bien fournie et les prix restent dans la moyenne pour un repas au restaurant (environ 15 à 20€ par plat). Aujourd’hui, on a chacun testé un hamburger : une nouveauté pour ma part, le Country Burger et pour Marion, l’Arizona Burger.

Le Country Burger : Gallettes de pommes de terre, steak haché de bœuf 180g, concombres marinés (cornichons en fait), oignons rouges, tomate, salade, sauce steak house et fromage. Le tout accompagné de frites et d’une sauce au choix.

 

Buffalo-Grill-0469.JPG

Le Country Burger, avec un joli visuel


L’Arizona Burger : Bun’s (pain), steak haché de bœuf 180g, bacon, oignons rouges, salade, sauce steak house, ketchup et fromage. Idem en accompagnement sur ce coup : frites.

Concernant mon Country Burger : très bon ! La viande est bonne (ca change de celui du McDo) et les galettes de pommes de terre, ça change un peu du pain habituel. Seule petite déception sur le coup : les oignons, la salade et la tomate ne sont pas directement dans le hamburger mais à côté, dans l’assiette. J’ai dû m’employer pour au moins mettre les oignons dans mon hamburger, j’aurais préféré les avoir directement dedans.

 

Buffalo-Grill-0470.JPG

Mon Country Burger : garniture à part


Pour celui de Madame, elle m’a simplement dit qu’on était capable de faire le même à la maison. Sauf que la viande est vraiment meilleure. Mais pour le reste, ce n’est pas sorcier : pain à hamburger, bacon, salade, fromage et viande. Ouaip, j’en ai déjà fait.

Ce que j’aime bien également concernant les viandes, c’est qu’on peut avoir 4 cuissons sans même rien demander : bleu, saignant, à point ou bien cuit ! Et quand on demande bien cuit, c’est bien cuit ! Bordel que ça fait du bien d’être servi avec une viande bien cuite, sans qu’on entende le serveur nous dire que le chef ne va pas apprécier (pas plus tard que Mercredi dans un restaurant plus classique). Je m’en fiche que le chef n’apprécie pas de faire cuire sa viande, mais c’est physiologique, je ne peux pas digérer de la viande qui reste rouge. Mais là, c’est directement proposé et la viande, même bien cuite, reste bonne ce qui gage d’une certaine qualité du produit.

Pour le dessert, Marion n’a pas pu s’empêcher de demander une barbe à papa. Pour moi, ça été plus classique : café viennois. Pas une très bonne idée, la chantilly, très bonne, était trop froide. Ce qui m’a fait boire un café à la limite du tiède. J’aurais du opter pour l’expresso (qui n’est d’ailleurs pas hors de prix).

Pour l’addition, agréable surprise de voir que la barbe à papa nous a été offerte.

 

Mon info en plus


Il y a souvent (toujours ?) une salle d’arcade à l’étage des restaurants avec le plus souvent des flippers. Ça avait marqué ma jeunesse quand on mangeait là-bas : on pouvait se divertir à l’étage et nos parents étaient tranquilles à table. Ça n’a pas changé en 15 ans et ce n’est pas plus mal. Pour la cible familiale, c’est idéal quand on a des enfants un peu trop actifs. D’autant plus que la clientèle du restaurant n’est pas uniquement familiale. J’ai pu voir de nombreuses personnes y venant pour le boulot ou alors travaillant dans les commerces aux alentours.

Bref, rien n’a vraiment changé chez Buffalo Grill depuis que j’ai connu les restaurants. C’est toujours un moment agréable à passer.

 

Et vous ? Vous pensez quoi de Buffalo ?

 

Verdict

 

facebook-jaime

 

Source : Buffalo Grill

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3 février 2011 4 03 /02 /février /2011 18:07

200px-Coca-Cola_logo.svg.png

 

 

 

Pourquoi Coca Cola ?


Parce qu’une canette rouge m’accompagne à l’heure où j’écris ces lignes. Et puis, une des plus grandes marques du monde pas encore passée par ici, c’est presque une erreur.

 

Mon avis


Hum, je ne sais pas à quand remonte ma première rencontre avec un coca mais je suis sûr que ça doit se rapprocher des 20 ans.


Les produits

Quoiqu’il en soit, Coca, c’est encore une fois un très bon produit… marketing. Encore une fois, le pouvoir du marketing l’emporte sur le côté « se nourrir de façon saine ». Et oui, Coca Cola propose des boissons extrêmement sucrées donc forcément, avec excès, potentiellement dangereuse pour la santé (directement et indirectement). Mais moi, j’aime ça ! C’est comme McDo, j’aime ça même si je sais que ce n’est pas forcément très bon pour la santé.

Je vais encore me répéter mais avec ce genre de produits, c’est toujours pareil : pour moi, ils ne sont dangereux pour la santé que dans l’excès (et ce ne sont pas les seuls). De toute façon, j’ai plus de plaisir à consommer occasionnellement du coca que d’en boire tous les jours. Le goût du coca reste quand même unique malgré les différents produits à base de coca : Pepsi, Coca Cola, Coca régional, Coca de MDD (marque de distributeur comme Leclerc, Auchan, etc…). C’est un peu comme le Nutella, inimitable car ils ont une recette secrète !

Recette secrète ou pas, j’aime cette boisson mais aussi certains nouveaux produits qui ont été mis sur le marché. Tout particulièrement le Cherry Coke. Coca à la cerise, j’adore vraiment. Pourtant, je n’aime pas trop l’arôme cerise dans les aliments (yaourts, bonbons, sirop, …) mais j’aime le fruit et le Cherry Coke : on y sent légèrement le goût mais qui n’est pas prononcé ce qui donne un goût spécial à ce coca.

 

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Coca-Cola Cherry


Dans le genre aromatisé, j’aime bien aussi le Coca-Cola Light Lemon : là, on sent bien le goût du Citron à chaque gorgée mais sans l’acidité réelle du fruit. Petit bémol, la version Light du coca ne me plait pas du tout, le fort arôme du citron permet de me faire apprécier la boisson. D’ailleurs, je pense que je deviendrai vite fan d’un coca Lemon non Light, c’est sûr. Malheureusement, les autres déclinaisons fruitées ont plus tendance à exister en version Light, c’est dommage.

 

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Coca-Cola Light Lemon


Pour le reste de la gamme, de ce que j’ai pu gouter, je n’ai pas vraiment eu de révélation : le Coca-Cola Zéro est sans plus, le Coca-Cola Light manque clairement de goût.

Par contre, s’il y a des versions de coca avec lesquelles je n’ai clairement pas accroché, c’est bien le Coca-Cola Vanille et le Coca-Cola BlaK ! Le Coca-Cola Vanille a vraiment un goût trop prononcé sur un des arômes que j’aime le moins : la vanille. On ne sent quasiment plus le coca que l’on boit. Si on n’est pas fan de vanille, je déconseille fortement.

 

Vanilla Coke Wiki

Coca-Cola Vanille


Pour le Coca-Cola BlaK, je ne sais même pas comment un produit comme cela a pu etre commercialisé en France. Du coca et du café ! C’est vraiment un pari risqué de mixer le café avec autre chose au pays où le petit noir est roi. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’en 2009, le produit a été arrêté, n’atteignant même pas 1% des ventes en France.

 

Coca Cola Blak bottles

Coca-Cola BlaK


Même si on n’aime pas Coca, on est forcé d’admettre que cette boisson est incontournable dans le monde. Je suis sûr qu’on en trouve dans le trou du cul du monde : toutes les 10 secondes dans le monde, 126 000 personnes achètent un produit de la Compagnie Coca-Cola (qui possède un nombre impressionnant de sodas). 1,5 milliards de boissons Coca-Cola sont consommées par jour dans près de 200 pays.


Coca-Cola et le sport

Et voilà une autre raison qui fait que j’aime Coca-Cola : son investissement depuis toujours dans le sport.

Coca est partenaire des Jeux Olympiques depuis 1928 et bien entendu, c’est le parrain officiel de la Coupe du Monde de Football depuis 1978. D’ailleurs, en 2005, Coca a prolongé son partenariat avec la FIFA jusqu’en 2022. Pourtant, avec la notoriété qu’a gagné la marque, même si elle n’était pas partenaire de l’événement, je suis sûr qu’elle serait citée dans la liste des sponsors.

L’opération qui avait été menée lors de la dernière Coupe du Monde concernait la célébration des buts : un concours avait été organisé sur la compétition et demandait aux internautes de voter pour la meilleure célébration de but de la Coupe du Monde. C’est finalement la célébration du premier but de la compétition qui a été retenue : Siphiwe TSHABALALA

Il semblerait que le projet d’étendre ces vidéos aux célébrations passées mais aussi à venir et ce hors Coupe de Monde soit en train de se mettre en place. Si jamais il voit le jour, j’ai déjà mes favoris.


 


 

Mon info en plus


Coca, c’est tellement bon que certains ne peuvent s’empecher d’en abuser : les Coca addict !

J’ai beaucoup entendu parler de gens qui étaient véritablement accros au Coca-Cola. Et quand je dis accros, c’est réellement le cas : on trouve souvent des consommations d’une bouteille par jour ! Si on fait rapidement le calcul avec les données qu’on a pour 100ml de coca, ça nous donne :

10,6g de sucres pour 100ml de coca soit 159g de sucres pour une bouteille de 1,5L. Sachant qu’un morceau de sucre pèse environ 5g, ça nous fait une jolie équivalence de 32 morceaux de sucre dans une bouteille de 1,5L.

Il m’était arrivé une fois de boire 1L dans une soirée mais être capable de s’enfiler 1,5L par jour, c’est à la limite du raisonnable. Je sais que c’est facile à dire, qu’à ce niveau, c’est de l’addiction tout comme la cigarette et qu’il est difficile pour ces gens d’arrêter du jour au lendemain.

Le coca contenait de la cocaïne à ses débuts mais ça avait été retiré rapidement du produit. Certaines bouteilles en contiendraient-elles encore ?

 

Et vous ? Quel Coca consommez-vous ? Etes-vous aussi accro ?

 

Verdict

 

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Sources : Coca-Cola, Wikipédia, FIFA

 

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 22:47

HP

HEWLETT3

 

 

Pourquoi HP ?


Parce que c’est la marque de mes deux PC que j’utilise actuellement. Bien que je sois plutôt attiré par les Mac, c’est HP qu’on me conseille le plus souvent (coucou Charles).

 

Mon avis


Sur mes deux PC, mon plus ancien fête sa quatrième année de vie (HP Pavillon dv9500). Ce que je trouve satisfaisant étant donné qu’il est encore en très bon état de fonctionnement (mis à part un petit souci de contact au niveau de la batterie) : possibilité d’utiliser des logiciels graphiques, de jouer, regarder des vidéos, utiliser de la musique et faire du multi-tâches. Bref, il est encore fonctionnel et je pense qu’il tiendra encore 1 ou 2 ans vu qu’il va être moins utilisé maintenant.

En effet, j’ai acheté un nouveau PC portable, toujours un HP (HP 620), il y a peu de temps. Un plus petit (15 pouces) que l’autre et plus puissant forcément. Du coup, c’est celui-là qui va être exploité ! Il possède toutes les qualités qu’on peut demander à un nouveau PC et qui correspond à l’utilisation que j’en fais : vidéos, musiques, jeux, logiciels graphiques, internet. Tout est de meilleur qualité (écran, puissance, mémoire, …) mais le gros plus par rapport à l’autre PC, c’est le poids : c’est presque un poids plume par rapport au mastodonte que j’avais avant.

Mais pour en revenir à HP, j’ai toujours été satisfait de mes PC HP. La preuve la plus pertinente est le fait que même après 4 ans d’utilisation (dont 2 ans d’utilisation intenses : genre 15h par jour). Bien entendu, les ordinateurs ne sont pas les seuls produits que propose HP. On peut également trouver des appareils photo numérique, des imprimantes, des calculatrices, … . A choisir dans des marques d'électronique et d'informatique, les deux marques qui m'attirent sont HP et SONY.

 

Mon info en plus


Petite « saga » qui m’avait intéressé cet automne chaque fois que j’allais au boulot : la bataille entre HP et Dell pour l’acquisition de 3PAR. Après plusieurs surenchères de part et d’autre au fil des jours, c’est finalement HP qui remporte la mise pour 2,4 milliards de dollars. Ce chiffre représente une goutte d’eau dans le chiffre d’affaires total d’HP (pas loin de 130 milliards de dollars) mais pour 3PAR, c’est une sacré plus-value : l’action était cotée 10$ début Août 2010. Finalement, le rachat par HP l’a fait grimper à 33$ ! Les 2,4 milliards de dollars mis sur la table représentent 10 fois le chiffre d’affaires de 3PAR ! Certainement un signe que le stockage de données en externe va prendre une place importante dans le monde de l’informatique.

Anecdote sympa à noter : suite à sa rupture de négociations avec Dell, 3PAR a dû verser 92 millions de dollars à Dell ! C’est presque 50% de son chiffre d’affaires annuel. C’est certainement HP qui va prendre ce dédommagement à sa charge mais c’est assez hallucinant : verser près de 100 millions de dollars parce qu’on accepte l’offre d’un concurrent. Dur le monde des affaires.

 

Et vous? Quelle est la marque de votre ordinateur et en êtes-vous satisfait?

 

Verdict

 

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Sources : Wikipédia, Znet

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1 février 2011 2 01 /02 /février /2011 00:20

Orangina 2

 

 

Pourquoi Orangina ?


Parce que j’ai eu la chance de suivre la finale des championnats du Monde de Handball (cocorico !) et j’ai bien entendu remarqué qu’Orangina était un des sponsors de nos Experts.


Mon avis


Orangina, la relation avec cette marque (et plus particulièrement avec son produit phare) remonte à mon enfance. A la fin des matchs de football, c’était toujours soit Coca, soit Orangina.

J’aime bien la boisson malgré le fait que je ne sois pas forcément fan de pulpe dans mon jus d’orange. Mais je la trouve facile à boire, le gaz carbonique me semble moins agressif que celui du Coca par exemple. Du coup, la bouteille de 25cl parait parfois bien petite quand on remarque qu’on vient de la vider.

Le produit est bon, tout comme l’est son petit frère : Orangina Rouge. Là aussi, ça été une mes boissons préférées. Pas forcément pour le produit en lui-même (mais un peu quand même) mais surtout pour la pub qui avait été créée à l’occasion ! Qui ne se souvient pas de la série des « Parce queeeeeeeeeee » qu’on voyait sur nos écrans ?


 


Pub Orangina rouge - la trilogie (désolé pour la qualité)

Ca été le début d’un intérêt grandissant pour moi à l’époque. Si on regarde maintenant, je ne consomme quasiment plus d’Orangina. Et en regardant les nouveaux produits disponibles, je remarque que la marque n’a pas changé de cible. Je ne suis malheureusement pas accompagné dans l’évolution de ma vie par la marque. Mais on peut difficilement lui en vouloir sachant que sa cible principale est l’adolescent : pubs déjantées, produits flashy (presque repoussant tellement c’est fluo)… Tout pour ne pas me plaire sur ce coup-là. La seule chose qui me lie encore à la marque, c’est le fait qu’elle s’engage dans le sport (handball et rugby) et surtout dans les sports qui méritent d’être plus reconnus comme le handball.

Pour parler un peu plus en détails de mon détachement, c’est également dû au fait que je n’accroche pas sur la nouvelle direction que prend la publicité de la marque. Autant je pouvais crier à tue-tête : « Parce queeeeeeee » dès qu’on me demandait « pourquoi ? », autant aujourd’hui, je trouve presque les nouvelles pubs gênantes. Pourtant, avec Fred&Farid aux manettes, on a affaire à de très grands créatifs. Mais sur ce coup, j’ai du mal à faire avec.

Le slogan est pas mal : Orangina, naturellement pulpeuse. Mais l’assimilation avec les animaux, je n’accroche vraiment plus. J’avais aimé les premières pubs qui mettaient des animaux en scène dans leur environnement naturel. C’était plutôt sympa à regarder. Mais quand ils sont passés à la vitesse supérieure, je me suis senti complètement largué : mettre en scène des animaux dans un quotidien d’humain, en utilisant Orangina à la place de produits courants (parfum, déodorant, toilette intime, nettoyant…), c’est trop décalé pour moi.

Mais peut-être que l’adolescent de 2010 accroche et trouve ce concept autant amusant que Rouge à mon époque. Merci Orangina, j’ai remarqué que j’avais vieilli :-)

Quoiqu’il en soit, bravo à Orangina pour son soutien à la Fédération Française de Handball. C’est vraiment un sport qui mérite d’être plus mis en avant et qui au moins, obtient des résultats. Le partenariat est peut-être récent (datant de Janvier 2010) mais j’espère qu’il durera le plus longtemps possible.

 

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Campagne Orangina/FFHB


Mon info en plus


J’étais obligé de faire un petit focus sur les campagnes pubs des années 90, juste pour le plaisir. Ce ne sera donc pas un long texte mais plutôt les fameuses pubs des hommes-bouteilles.

Bon visionnage !

 

 

 

Et vous ? Orangina ou pas Orangina ?

 

Verdict

 

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 11:40

Nespresso logo-copie-1

 

Pourquoi Nespresso ?


Parce que depuis que Papa Noël est passé au mois de Décembre, j’ai droit à mon café « What Else » quand je veux à l’appart. Vous imaginez donc que j’en abuse comme il faut !


Mon avis

 

J’en ai bu des cafés différents depuis mon adolescence : café moulu de la cafetière familiale, café instantané (made in Nescafé), café d’une random machine de la fac, d’une entreprise, express du restaurant et j’en passe.

Mais depuis peu, avec l’arrivée des capsules, c’est une sorte de révolution. Tout avait commencé avec une machine Senséo, utilisée notamment au bureau pour éviter de boire le fameux jus de chaussette qui était distribué à la seule machine à café de tout l’immeuble.

On est encore monté en gamme avec l’arrivée des capsules Nespresso. Pourtant, le procédé n’est pas unique mais le concept explose. Ajoutez à cela une stratégie marketing digne des plus grandes marques, vous obtenez ce mélange explosif : un produit qui s’est déjà vendu à plus de deux milliards d’exemplaires (capsules). Bref, la capsule Nespresso et sa machine font un véritable carton et c’est logique.

La réussite réside, à mon avis, dans une stratégie bien rodée : un produit simple et design, un prix attractif, un réseau de distribution quasi exclusif et une stratégie de communication impactante avec Georges Clooney en porte-parole vedette.


Le produit

Je trouve les machines Nespresso très belles, tout particulièrement celle que je possède, la Citiz. Mais la plupart des machines sont belles. On peut même customiser certains modèles depuis peu avec la couleur que l’on souhaite !

 

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Ma machine


Concernant les capsules, là encore, j’arrive à trouver ça joli. Couleurs intenses et forme sympa, il m’en faut peu sur ce coup-là. Mais rien de plus convaincant que le résultat final : un bon café comme au resto mais dans son appartement. Quand on y regarde de plus près, on peut trouver que la dose de café dans la capsule est vraiment faible mais une fois servi, le dosage est quasiment parfait. Rien à redire sur les produits Nespresso.


Le prix

J’ai souvent entendu des gens me dire que les capsules Nespresso, c’est cher. J’ai toujours du mal avec ce genre d’affirmations (cher, pas cher, trop cher). C’est cher ? Mais par rapport à quoi ? Parce qu’on compare forcément à quelque chose non ? Ou alors, c’est parce qu’on estime que le prix est trop haut rapport à ce que l’on pourrait mettre dans ce produit ?

Mais concernant Nespresso (et je vais me faire l’avocat de la marque), critiquer uniquement le prix des produits, c’est pour moi de la pure mauvaise foi ! Quand on me dit que le prix est trop élevé, mon seul contre-argument se base sur l’expresso du resto (ou du café du coin). Et cela suffit généralement :

« - Nespresso, c’est trop cher !

- Même pas 40cts pour un café que tu payes quasiment 2€ dans n’importe quel resto, t’es sûr ? »

« - Nespresso, c’est trop cher pour moi. Jamais je mettrai ce prix pour un café ! »

- Et tu mets combien dans ton expresso au resto ? »

Certes, je veux bien croire que l’investissement de départ dans la machine permet de prendre un peu d’avance pour la dépense, mais au final, un bon expresso à la maison pour 35cts, c’est quand même abordable.

Se payer un petit plaisir (car c’est un plaisir que de boire du café pour moi) pour 35cts ! Je ne connais pas beaucoup de choses qui rivalisent.


Le réseau de distribution Nespresso

Grâce à plus de 70 brevets, Nepresso a quasiment bloqué la concurrence sur SON marché (celui des capsules Nespresso, pas celui des capsules de café en général). De plus, son réseau de distribution Nespresso est également très bien pensé : on est obligé de passer par la boutique Nespresso pour obtenir nos capsules de café.

Petit bémol cependant : le partenariat avec Maison du Café, qui propose des capsules pour machines Nespresso : j’ai testé une fois, mais plus jamais ! Ces capsules sont en plastique et non en alu. Du coup, une fois le café fait, la capsule reste coincée dans la machine et il faut la sortir au couteau ! Rien de mieux pour abimer la machine… Vraiment déçu sur ce point. J’avais fait la remarque à une vendeuse de la boutique qui m’avait dit la même chose : elle a testé mais plus jamais. C’est dommage, ça aurait pu être une ouverture intéressante pour les capsules Nespresso, mais si personne ne peut réaliser de capsules du même gabarit, il vaut mieux ne rien faire.

Autre point au niveau du réseau de distribution : la gamme de produits pour professionnels. Des machines différentes et surtout des capsules différentes ! Elles ont plus la forme des dosettes de café qu’on trouve dans les autres machines. Mais le café a la même qualité que les capsules Grand Public. Elles ne sont juste pas disponibles dans le commerce ni en boutique : le contrat entre Nespresso et une entreprise prévoit des commandes de 200 capsules par mois minimum. Ça pourrait peut-être devenir un critère dans le choix de son entreprise (« Y a-t-il une machine Nespresso disponible pour les employés ? »). Bon, avec la morosité du marché pour le moment, on va reléguer ça au rang des détails mais qui sait, un jour peut-être…


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Exemple de machines de la gamme Pro

 

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Les capsules Pro


What Else

Ahhhh le meilleur pour la fin : la stratégie de communication de Nespresso.

Un simple exemple de la réussite de cette communication. Si je vous dis « What Else », à quoi et qui vous pensez ? Je ne vais pas répondre, tout le monde connait la réponse.

J’aimerais juste dire un mot sur l’image que renvoi Nespresso (hors publicité) : une image d’une marque de luxe malgré le fait qu’elle s’adresse à tout le monde. Avec ses boutiques au design soigné, la mise en place d’un Club Nespresso, le nombre impressionnant de conseillers (et non pas vendeurs) dans chaque boutique, Nespresso a vraiment réussi à valoriser le consommateur : on a l’impression d’appartenir à un univers exclusif, haut de gamme où on sait que l’on sera au centre des attentions, même si on sait parfaitement ce qu’on vient acheter, on passera toujours plus de temps pour profiter de l’atmosphère de la boutique (sauf si elle est bondée) qu’un simple « Bonjour, je viens acheter ça. Merci. Au revoir ».

En plus, tout est design chez Nespresso : aussi bien les paquets de capsules que les tasses, le sachet de transport et même les cartes des cafés ! Ils ont réussi à nous faire une carte des cafés dans le même genre que la carte des vins d’un restaurant. Vraiment très plaisant à lire en plus. Chaque détail est pensé, chaque « objet Nespresso » est réalisé pour coller à l’image que veut renvoyer la marque, rien n’est laissé au hasard (sauf les capsules Maison du Café mais ce n’est pas un produit Nespresso).

Concernant la campagne de communication, bien entendu, Georges y est pour beaucoup. Dans un premier temps, pour faire connaitre la marque. Les premières pubs, avec ce ton légèrement décalé où Georges Clooney est moins populaire qu’un café Nespresso auprès de la gente féminine, sont géniales et le slogan est immédiatement adopté !

 


Ce que j’ai également apprécié au niveau des publicités, c’est l’évolution. On n’est pas simplement resté avec une pub montrant Georges Clooney chercher son café et finissant avec un petit What Else ?

La venue de « Dieu » dans les pubs a permis de montrer que la marque ne se contentait pas de s’assoir sur ses lauriers. Ainsi, l’arrivée de John Malkovich ajoute un peu de nouveauté et j’ai hate de voir la suite !


 


 

Mon info en plus


J’ai une petite préférence pour la gamme Lungo, des cafés plus longs que des express. Chaque café à son moment : les Lungo le matin et le soir de temps en temps et les express, c’est plus après les repas (midi et soir).

D’ailleurs, pour ceux qui veulent, voici la carte Nespresso et si l’envie vous prend, venez prendre le café à la maison ! Suffit de prévenir avant et je vous accueille avec plaisir ;-)

 

Carte-cafe.jpg

La carte des grands


Pour plus de détails, c'est par ici

 

Et vous? Café What Else ou pas?

 

Verdict

 

facebook-jaime

 

Sources : Dailymotion, Nespresso, Nespresso Pro

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29 janvier 2011 6 29 /01 /janvier /2011 11:04

welcome-back

 

Vous avez pu remarquer que le blog s'était un peu figé ces derniers temps. J'en suis le premier désolé et déçu.

La faute à de gros changements au niveau professionnel qui m'ont occupé quasiment à temps plein.

Quoiqu'il en soit, je vais reprendre l'activité du blog en modifiant légèrement le mode de fonctionnement de mes articles : la base ne change pas, ce sera toujours la mise en avant d'une marque avec laquelle j'ai été en "contact" durant ma journée.

Mais fini la partie historique, on va passer directement à la partie "mon avis" qui concernera plus précisément un produit que j'ai utilisé de cette marque. Une sorte de test produit. 

La dernière partie avec l'info en plus restera si effectivement j'ai une anecdote à partager.

 

Me voilà donc reparti dans ma vie remplie de marques en tout genre, pour mon plus grand bonheur.

 

Merci à Gonzague pour l'image

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 23:00

 

200px-Logo IKEA.svg

 

 

Pourquoi IKEA ?


Parce que je viens d’y faire les courses tout simplement. Un petit meuble et une superbe table repose pc portable (la photo quand elle sera montée, à Noël).

Le fameux concept du meuble en kit, toujours efficace.


L’histoire d’IKEA

 

Première chose, que j’ignorais d’ailleurs, le nom : IKEA. Qui vient de Ingvar Kamprad Elmtaryd Agunnaryd : les 2 initiales du fondateur (Ingvar Kamprad), le nom de la ferme de ses parents (Elmtaryd) et du nom de son village (Agunnaryd)

 

1943 : création d’IKEA, à Älmhult (Suède)

 

1947 : premier mobilier proposé aux clients (auparavant, IK vendait de la papeterie et d’autres produits par correspondance)

 

1951 : premier catalogue IKEA rédigé par Ingvar Kamprad. Il fait 4 pages

 

1955 : IKEA décide de se lancer dans le design de ses propres meubles

 

1995 : lancement de la première IKEA PS (Post Scriptum) qui a pour but de mettre en avant les designers (internes ou externes). Cette campagne est renouvelée tous les 3 ans

 

15 janvier 2009 : IKEA devient le numéro 1 du meuble en France (15,7% de PDM). Ses concurrents : Conforama, BUT, Fly et Alinéa


Mon avis

 

Soyons honnêtes, le meuble en kit, c’est pratique, ça claque, c’est flatteur quand on est novice en bricolage.

Par contre, mon avis vis-à-vis de IKEA a récemment évolué. J’y reviendrai dans ma dernière partie notamment.

IKEA, c’est pour moi la solution de facilité et surtout à prix défiant toute concurrence pour meubler un appart rapidement sans trop se prendre la tête. La facilité (presque intuitive) de montage des meubles est telle qu’on a l’impression de savoir bricoler alors qu’en fait, on a juste tourner quelques vis et planté 2-3 clous.

 

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Le montage en kit

 

Rien ne vaut les services d’un grand magasin de meubles quand on a les moyens et surtout la place de faire du sur-mesure chez soi mais le meuble en kit, ça doit être LA référence des apparts des citadins. J’suis sûr que si on fait un sondage, on arrive au moins à 80% d’apparts équipés d’au moins un meuble en kit !

Concernant le magasin, là encore, IKEA fait fort. Tellement qu’ils commencent à faire des émules (coucou Carrefour) : un concept révolutionnaire qui consiste à transformer la venue du client en magasin en véritable visite guidée ! Il est quasiment impossible de manquer un seul « rayon » du magasin si on suit le joli tracé fléché au sol.

Je me souviens d’un ami qui me disait : « quand tu vas chez IKEA, c’est impossible de rien acheter. On te propose n’importe quel bibelot à 1€ ». D’ailleurs, et c’est une évolution logique, IKEA ne vend pas que des meubles : cadres, lampes, ampoules, piles, plantes vertes, etc…

Ils ont même leur propre restaurant dans le magasin (jamais testé par contre) et un service fast-food : 1,5€ le hot dog (infecte, je déconseille), sandwich à 2€, etc… Encore du low cost. A force de faire du prix cassé, on peut se demander s’ils ne vont pas faire baisser la qualité également (ce qui semble être le cas sur la restauration déjà).

Mais IKEA a un potentiel énorme et pourrait faire comme fait déjà Leclerc : proposer tout ce qu’on pourrait avoir besoin au même endroit : pharmacie, librairie, alimentation, garage, club de fitness.. (j’exagère bien sûr, mais c’est le chemin que prend le supermarché). Heureusement, ils ne le font pas et c’est tant mieux comme ça : le meuble en kit a encore de beaux jours devant lui.


Mes infos en plus : la CA d’IKEA et son catalogue

 

Pour la première fois en 2010, IKEA décidait de publier ses chiffres : 23,1 milliards de CA pour un peu plus de 2,5 Milliards d’€ de bénéfices. C’est ici que ça commence à me chiffonner : la holding propriétaire est basée aux Pays-Bas comme une fondation charitable qui n’a pas d’obligation de publier ses résultats complets. De plus, il n’y a pas d’actionnaires et la société n’est pas cotée en bourse.

Du coup, à qui profite les milliards de bénéfices s’il n’y a pas d’actionnaires ? On a eu droit à un mouvement de grève en février 2010 en France contre les salaires des employés d’IKEA. Je me disais simplement que c’était encore et toujours les syndicats qui râlaient parce que ce sont les actionnaires qui ramassent les bénéfices et pas les employés (autre débat qui n’aura pas lieu ici :p). Mais en fait, non. Aucun actionnaire pour récupérer du bénéfice sur sa mise. Du coup, les salariés pourraient tout simplement profiter de la magnifique tenue de leur entreprise. Mais tout ça reste flou, j’ai pas vraiment creusé l’information mais ça a simplement éveillé ma curiosité.

 

Le deuxième info vient du catalogue : 200 millions d’exemplaires par an.

Ce qui en fait l'ouvrage le plus tiré dans le monde (par an). Un travail phénoménal et une évolution fulgurante depuis sa création : il est passé de 4 pages à 370 pages aujourd’hui. Il mobilise 260 graphistes, photographes et décorateurs à TEMPS PLEIN. 5000 articles sur les 9500 objets manufacturés sont référencés.


 

catalogue-Ikea-evolution

La Bible d'IKEA


 

Et vous ? Vous aimez aussi le meuble en kit ?

 

Source : Wikipédia

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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 23:39

BFM_Business_logo_2010.png

 

Pourquoi BFM Business ?


Parce que c’est la station de radio que j’écoute sur le trajet du boulot le matin !

Généralement, c’est pas trop axé bourse (plutôt l’après-midi) donc on a plusieurs sujets sur l’actualité politique et économique.

 

L’histoire de BFM Radio


Fin 1991 : Business FM est créée à Paris par Jacques ABERGEL et René TENDRON.

1995 : Constitution d’un réseau national avec une « ouverture » à Nancy puis Lyon et Grenoble l’année d’après.

 

Logo 2002

Premier logo BFM


2002 : Reprise de Business, alors en redressement judiciaire, par Alain WEILL via le groupe NextRadioTV (qui possède également RMC et le Groupe 01)


Avril 2009 : Business FM devient BFM Radio

Juillet 2010 : La radio compte 30 fréquences

Pour cette fin d'année, la radio va à nouveau changer de nom et devenir BFM Business.

 

BFM Business logo 2010

Nouveau logo BFM Business

 

Mon avis

 

J'avais jamais vraiment été très branché économie du temps de la fac. Mais, depuis mon entrée dans la vie professionnelle, j'aime et j'ai besoin de m'intéresser de plus près à l'économie dans le but de comprendre comment tout fonctionne. Je trouve qu'à ce niveau-là, BFM se défend bien.

Ma tranche horaire préférée? Samedi 23h !

Mais en ce qui concerne l'écoute en journée, c'est plutôt 8h-10h.

De 8h à 9h, c'est plus pour l'actualité du matin, n'importe quelle station d'informations peut faire l'affaire. Juste histoire de se tenir au courant en fait. BFM n'entre pas vraiment dans le détail des informations, on reçoit quelques compléments mais ça s'arrête là. Pour pousser la chose, il faut se renseigner soi-même (ce qui n'est pas plus mal si l'information qui ne nous intéresse pas n'est pas développée).

De 9h à 10h, c'est le débat d'experts ! Une de mes émissions préférées malgré l'horaire peu pratique : j'ai souvent le début du débat mais jamais la fin, ça fini trop tard. Heureusement que toutes les émissions sont disponibles en podcasts pour se rattraper à la pause déjeuner.

Les débats sont très intéressants et enrichissants grâce à la qualité des intervenants présents. Certes ils ne donnent que leurs avis, mais ça permet de réfléchir sur le sujet car, bien souvent, les avis divergent. Ca pousse à la réflexion.

Concernant les autres émissions, je suis pas fan du tout "d'intégral bourse", une émission 100% bourse. Trop compliquée pour moi qui regarde juste ça de loin. C'est vraiment des analyses poussées, des conseils de professionnels. Donc forcément, je suis largué mais de toute façon, la bourse m'intéresse très peu.


Mon info en plus : Sport €co


Heureusement, ils ont pensé à tout ! Une émission consacrée au sport business, quel bonheur ! Bruno Fraioli reçoit de nombreux acteurs du « sport business » le samedi à 23 heures (à écouter en podcast donc, on ne peut pas louper Canal+ un samedi soir :p).

On a tous les sports, tous les thèmes et on peut enfin avoir un complément au très bon magazine « Sport Stratégies » ! C’est toujours intéressant pour moi (forcément pour le boulot) d’écouter les interventions des responsables sponsoring ou communication des grandes entreprises sur leur stratégie de communication sportive. Il en va de même sur les dirigeants ou responsables communication/marketing des grandes instances sportives et leur politique de développement.

Vraiment une émission incontournable pour ma part. Même si on n’a pas le droit à une émission par jour, le fait qu’on parle de sport et business, c’est déjà un pas énorme. Surtout quand on sait comment le sport est traité au niveau de l’Etat… mais c’est un autre débat ;-)

D’ailleurs, pour ceux que ça intéresse, le podcast de ce wee-end est dispo ici

 

Sources : Wikipédia, Radio BFM

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21 novembre 2010 7 21 /11 /novembre /2010 22:18

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Pourquoi L’Oréal ?

 

Parce que j’utilise un des produits L’Oréal tous les matins quand je prends ma douche : un shampooing (Elsève pour être précis). Quand on connait tout le tapage médiatique auprès de la « grand patronne » du groupe, j’ai préféré faire un focus sur L’Oréal plutôt que sur Elsève.

 

L’histoire de L’Oréal

 

30 Juillet 1909 : Eugène Schueller créée la « Société Française des Teintures Inoffensives pour Cheveux », qui deviendra plus tard L’Oréal


Eugène Schueller

Eugène Schueller


1928 : 8 ans après sa création, la « Société des Savons Français » est rachetée par Eugène Schueller, qui y installe le siège de L’Oréal (rue Martre à Clichy)


monsavon

L'entreprise Monsavon


Toujours cette année, lancement du produit O’Cap, une lotion moussante capillaire, qui fait office de shampooing

1931 : premier événement publicitaire pour L’Oréal : une bâche qui recouvre entièrement une façade d’immeuble parisien et qui fait la promotion de la lotion O’Cap. La révolution publicitaire continue avec le premier communiqué publicitaire chanté qui fait son apparition à la radio (alors que la « coutume » consiste à lire simplement les messages de pub)


Pub

La grande publicité pour O'Cap


1933 : Premier magazine mensuel féminin dédié à la beauté et à la santé : Votre Beauté. Lancement également de Dopal, le premier shampooing sans savon (donc plus doux) réservé aux professionnels et également ancêtre de Dop

1934 : arrivée de Dop dans la distribution pour le grand public

1938 : mise en place du « salaire proportionnel » : un salaire indexé sur l’évolution du chiffre d’affaires

04 Avril 1939 : la « Société des Teintures Inoffensives pour Cheveux » prend définitivement le nom de L’Oréal et s’installe au 14, rue Royale, à Paris

1951 : lancement des Berlingots Dop : des petites dosettes de shampooing. Succès fulgurant

1957 : François Dalle devient PDG de L’Oréal

1960 : lancement de la laque Elnett pour le grand public : nouvelle révolution

1963 : introduction de L’Oréal en Bourse. Depuis 1967, la capitalisation du groupe a été multipliée par 490. En 1963 toujours, lancement des premiers bains moussants Obao

1964 : acquisition de Lancôme


Lancome

Lancôme


1965 : acquisition des laboratoires Garnier

1970 : acquisition de Biotherm

1973 : acquisition de Gemey, marque de maquillage spécialisée dans les fonds de teints et les poudres

1984 : Charles Zviak nommé PDG du groupe

1985 : L’Oréal acquiert la licence Ralph Lauren et poursuit la saga des parfums Polo pour homme. Toujours cette année (décidément, 1985… :p), la 1ère ligne de soins homme est lancée !


Biotherm Hommes

Biotherm pour Hommes


1986 : Niosôme de Lancôme, la 1ère crème anti-âge est lancée

1988 : Lindsay Owen-Jones devient PDG à 42 ans seulement

1993 : L’Oréal Brandstorm est lancé : ce concours, toujours existant, permet à plus de 32 000 étudiants de faire valoir leurs talents dans différents domaines du marketing (communication, packaging, benchmark, etc…)

Brandstorm

L'Oréal Brandstorm


1996 : acquisition de Maybelline, leader du maquillage populaire aux Etats-Unis. Toujours cette année, la « tornade verte » Fructis (shampooing de Garnier) fait un véritable carnage dans la grande distribution

1998 : lancement du programme international « L’Oréal-Unesco pour les Femmes et la Science » qui vise à récompenser et soutenir des femmes scientifiques

Février 2000 : la première charte éthique de L’Oréal est publiée : elle regroupe les valeurs et principes d’action du groupe et est enrichie par les contributions des collaborateurs de l’entreprise

2001 : e-strat challenge : le premier « business game » en ligne de L’Oréal. Via un site internet, les étudiants des business schools du monde entier entrent dans la peau d’un manager d’une entreprise de cosmétique virtuelle

2006 : la Division des Produits de Luxe signe un contrat de licence avec Diesel pour une ligne de parfums. Nouveau PDG : Jean-Paul Agon

2007 : création de la Fondation L’Oréal qui a trois missions : encourager l’éducation, promouvoir la recherche scientifique et aider les personnes fragilisées.

  

Mon avis


fructis

Fructis de Garnier


Concernant le shampooing que j’utilise, un Fructis de Garnier, je ne peux qu’avoir un avis positif. J’ai l’impression que l’expression « l’essayer c’est l’adopter » convient parfaitement. En effet, après seulement la première utilisation, j’ai pu ressentir un changement par rapport à mes autres shampooings habituels. Donc au niveau de la qualité du produit, pas de reproches possibles, c’est clair.

Pour parler un peu plus de l’entreprise L’Oréal, gros groupe français on le sait, j’aime particulièrement l’innovation au niveau du recrutement. Toutes ces nouvelles façons d’attirer les meilleurs talents dans l’entreprise. En particulier le fameux jeu en ligne qui permet de simuler un poste de manager dans une entreprise de cosmétique.

Puis, toutes les actions qui visent à « améliorer » l’image (bien que je ne vois pas en quoi l’image pourrait être mauvaise) notamment grâce au mécénat et au soutien de nombreuses causes, reçoivent toujours un écho favorable de mon côté. Déformation professionnel ? Peut-être, mais il y a certains petits principes qui font la différence : entre un grand groupe qui soutient certaines causes et un autre qui ne fait rien, la balance pence de plus en plus facilement vers celui qui montre qu’il essaye de faire bouger les choses. On aime ou on n’aime pas mais on ne pas retirer le fait que l’effort est fait.

 

Mon info en plus : Reveal, the game

 

« Ah la la ! Si j’avais pu avoir des jeux comme ça lorsque je cherchais un stage ! J’aurais jamais autant aimé travailler.» C’est peut-être ce que je dirais dans 10 ou 20 ans à une jeune personne en recherche de stage. Peut-être que d’ici là également, les « serious games » seront monnaie courante dans le recrutement des grandes entreprises mondiales.

Concernant celui de L’Oréal, ne l’ayant pas testé, je préfère vous renvoyer vers un article très complet issu du site CadresOnline. 

Les jeux font leur apparition dans le monde du travail (voir aussi la campagne de recrutement de l’Agence de pub H). Doit-on y voir déjà un message que lancent les entreprises à leurs futurs collaborateurs ? « Venez travailler vous amuser chez nous ! » Pour l’instant, la plupart des actions visent des stages. Mais peut-être qu’un jour, on aura de vrais postes à la clé !

Et vous ? Que pensez-vous de ce mode de recrutement ? Auriez-vous aimé au moins tester un des jeux ?

 

Sources : L'Oréal

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 22:11

 

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Pourquoi Nescafé ?


Parce que ce matin, c’est un café Nescafé (donc soluble, oui oui, honte à moi…) qui m’a réveillé (le Green Blend en fait, mon café soluble préféré).

Etape indispensable pour démarrer toute journée, le café est un vrai rituel. Soluble ou pas, il est obligatoire.

 

L'histoire de Nescafé


La marque Nescafé n’a pas une histoire très chargé. Il y a plus à dire sur la société mère : Nestlé. Mais le billet du jour ne la concerne pas.

Le café soluble instantané fut inventé en 1901 par Satori Kato, un scientifique japonais travaillant à Chicago.

Années 1930 : l’Office brésilien du café demande à Nestlé de développer des « cubes de café » qui, par simple ajout d’eau chaude, devrait pouvoir créer du café

L’équipe de recherche est créée en Suisse mais les premiers essais ne sont pas concluants. Le chimiste de l’équipe, Max Morgenthaler, poursuit ses recherches dans son coin et trouve finalement la formule.

1er Avril 1938 : après 7 ans de recherche, le « Nescafé » est né, en poudre, à Orbe (Suisse)

1939 : lancement de la production en France

 

art quality guaranteed

Publicité Nescafé


1960 : arrivée de plusieurs arômes pour le café soluble

Depuis, Nescafé est toujours présent, sans trop faire de vagues (pas de principe révolutionnaire, ça reste du café soluble).


Mon avis


Le café soluble, c’est pas forcément ma tasse de thé (haha !). N’importe quel amateur du « petit noir » aura un petit étonnement à l’évocation de ce procédé. En fait, le café soluble est, pour moi, plus un « café de secours » qu’un véritable café : pas de goût très prononcé, pas vraiment d’arômes qui rendent la boisson exceptionnelle. Surtout quand on compare à du café, du vrai.

Mais il a le mérite d’exister et de répondre aux besoins de certains consommateurs de café dont moi, qui ne boit que du Nescafé Green Blend (quand je ne peux faire autrement que de boire du soluble).


pack NESCAFE Green-blend

Le seul café soluble que j'aime vraiment


Concernant Nescafé, je n’ai toujours eu que cette marque comme référence pour le café soluble. En même temps, la qualité du café soluble n’arrive pas à la cheville d’un vrai café. D’ailleurs, ce n’est pas pour rien qu’on peut compter les marques de café soluble sur les doigts d’une main (Nescafé, Carte Noire, Maxwell House et quelques-unes moins connues encore).

L’avenir du café soluble a quand même l’air d’être bien sombre, à moins que les gens prennent l’habitude de boire leur café de cette façon mais j’espère quand même que ce ne sera pas le cas. Ou encore si une révolution dans le monde du café soluble fait son apparition (frérot, tu me préviendras quand tu auras trouvé une recette révolutionnaire dans tes tubes).

 

Mon info en plus : La Colegiala


Ce nom ne vous dit peut-être rien mais si vous entendez la musique (car c’est une chanson) vous la reconnaitrez immédiatement !


 

 



C’est mon info en plus pour Nescafé, cette musique devenue culte grâce à la marque. Pour moi, elle y est d’ailleurs toujours associée.

Pour la petite histoire, l’interprète de ce morceau, le Colombien Rodolfo y su Tipica intentât un procès à Nestlé car ils avaient fait passer cette chanson pour de la musique colombienne alors qu’elle est en fait originaire du Pérou (procès perdu par Nestlé d’ailleurs). La version originale fut enregistrée par les « Los Ilusionistas » en 1975.

 

Et vous ? Café soluble ou non ? Pourquoi ? 

 

Sources : Nescafé, Wikipédia

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